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Les véritables forces dans la vie sociale du présent
Die wirklichen Kräfte in dem sozialen Leben der Gegenwart |
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Les véritables forces dans la vie sociale du présent |
[838/01] Die Gruppe von Menschen, die im Frühling 1919 damit begann, den Gedanken der Dreigliederung des sozialen Organismus zu propagieren, wollte in ehrlicher Weise an der Besserung der menschlichen Lebensverhältnisse arbeiten. Sie konnte aus dieser Ehrlichkeit heraus der Arbeiterbevölkerung nicht die alten Schlagworte und Phrasen bringen, welche seit Jahrzehnten in der sozialistischen Agitation ihr Wesen getrieben hatten. Mit diesen Phrasen und Schlagworten konnte man die bisherige gesellschaftliche Ordnung wohl kritisieren, man konnte den führenden Klassen sagen, was sie unterlassen haben, aber man konnte nichts aufbauen. Man konnte damit Utopien ausdenken, aber man konnte der sozialen Wirklichkeit nicht Kräfte zuführen, welche dem Leben so dienen, daß darinnen jeder Mensch ein menschenwürdiges Dasein findet. |
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Le groupe d’humains qui, au printemps 1919, a commencé à propager les pensées de la tri-articulation de l'organisme social voulait travailler honnêtement à l'amélioration des conditions humaines/rapports humains de vie. Par cette honnêteté, ils n'ont pas pu apporter à la population des travailleurs les vieux slogans et expressions qui ont été pendant des décennies l'objet de l'agitation socialiste. Avec ces phrases et ces slogans, on pouvait critiquer l'ordre social précédent, on pouvait dire aux classes dirigeantes ce qu'elles n'avaient pas fait, mais on ne pouvait rien construire. On pouvait inventer des utopies avec elles, mais on ne pouvait pas fournir à la réalité sociale des forces qui serviraient la vie de telle sorte que chaque être humain puisse y trouver une existence digne. |
[838/02] Die Träger des Dreigliederungsgedankens gingen nicht von solchen Phrasen und Schlagworten aus. Sie begründeten ihr Wollen auf den festen Lehren, die das Leben selbst gibt. Sie sprachen von dem Standpunkt dieser Lebenslehren aus sowohl zu den Persönlichkeiten der führenden Klassen wie auch zu den Proletariern. Sie sind bisher von keiner Seite verstanden worden. Aber sie wissen gerade deshalb, weil sie ihre Gedanken aus dem wirklichen Leben geholt haben, daß von einer Besserung der Zustände erst die Rede sein kann, wenn man diese Lebenslehren verstehen wird. Sie können nichts anderes tun, als diese Lehren so lange zu wiederholen, bis sie ein geneigtes Ohr finden. |
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Les porteurs de l'idée de tri-articulation ne sont pas partis de telles phrases et slogans. Ils ont fondé leur volonté sur les enseignements fermes que la vie elle-même donne. Ils ont parlé du point de vue de ces enseignements de la vie aux personnalités des classes dirigeantes ainsi qu'aux prolétaires. Ils n'ont pas encore été compris par les deux parties. Mais ils savent, précisément parce qu'ils ont tiré leurs pensées de la vie réelle, qu'il ne peut être question d'une amélioration des conditions tant que ces enseignements de la vie ne sont pas compris. Ils ne peuvent rien faire d'autre que de répéter ces enseignements jusqu'à ce qu'ils trouvent une oreille attentive. |
[838/03] Warum hat man die Träger des Dreigliederungsgedankens nicht verstanden? Das Proletariat fand, daß sie zu kompliziert sprachen. Es konnte nicht sogleich sehen, wie durch ihre Gedanken sich wirklich nicht bloß ein Ziel, sondern auch ein Weg zeigte aus den geistigen, staatlichen und wirtschaftlichen Unmöglichkeiten heraus. Man wollte, daß sie einfacher sprächen. Aber man bedachte dabei nicht, daß das Leben selbst kompliziert ist. Der Träger des Dreigliederungsgedankens ist in derselben Lage wie ein Arzt. Dieser soll seine Ratschläge geben. Er wird das nur tun können, wenn er den ganzen komplizierten menschlichen Organismus kennt. Kann man von ihm verlangen, daß er zu jedem Menschen von diesem Organismus so spricht, wie es zu verstehen ist, wenn man sich nicht auf das einläßt, was über das Leben des Organismus gelernt werden muß? Man kann das nicht verlangen, weil er durch das Befolgen dieses Verlangens zum Schlagwort und zur Phrase greifen müßte. Das aber konnten diese Träger nicht. Denn sie wollten nur sagen, was in jedem Satze von Ehrlichkeit durchdrungen war. Was sie zu sagen haben, kann verstanden werden. Aber man muß sich erst durchringen zu diesem Verständnis. |
03 |
Pourquoi les porteurs des pensées la tri-articulation n'ont-ils pas été compris ? Le prolétariat trouva qu'ils parlaient d'une manière trop compliquée. Il ne pouvait pas voir tout de suite comment leurs pensées montraient réellement non seulement un but, mais aussi une voie pour sortir des impossibilités spirituelles, étatiques et économiques. On voulait qu'ils parlent plus simplement. Mais on ne considérait pas que la vie elle-même est compliquée. Le porteur de ces pensées de tri-articulation est dans la même situation qu'un médecin. Il devrait donner un bon conseil. Il peut seulement le faire s'il connaît l'ensemble de l'organisme humain compliqué. Peut-on attendre de lui qu'il parle à chaque homme de cet organisme de la manière qu'il faut comprendre, si l'on n'entre pas dans ce qu'il faut apprendre sur la vie de l'organisme ? On ne peut pas l'exiger, car en obéissant à cette exigence, il faudrait recourir au mot et à la phrase d'accroche. Mais ces porteurs ne pouvaient pas faire cela. Car ils ne voulaient dire que ce qui était imprégné d'honnêteté dans chaque phrase. Ce qu'ils ont à dire peut être compris. Mais il faut d'abord se résoudre à cette compréhension. |
[838/04] Der Proletarier wird sagen: Also wollt ihr allerlei gelehrtes Zeug zu uns sprechen, wir aber wollen die einfache Sprache des Volkes hören. Darauf ist zu erwidern: Nein, gelehrtes Zeug wollen wir nicht sprechen, sondern die Sprache des wirklichen Lebens. Wir wollen nur von Kapital und Arbeit sprechen vom Gesichtspunkte der Sachkenntnis wie der Arzt oder Naturkenner vom menschlichen Organismus und nicht wie der Kurpfuscher. Aber wenn man so sprechen will, dann wird man nur verstanden, wenn auch der andere den rechten Weg des Verstehens beschreiten will. Es wird dieser Weg nur gefunden werden, wenn er durch Herz und Seele zum Verstande gehen will. Der Schreiber dieser Zeilen ist von der Überzeugung durchdrungen, daß die Träger des Dreigliederungsgedankens so sprechen, daß man ihnen Verständnis für die wahre Lage des Proletariats ansieht, wenn man sie vom Herzen und von der Seele aus beurteilen will. Das Proletariat hat bis jetzt diesen Weg durch Herz und Seele nicht genügend gesucht. Es hat geurteilt nach den Verstandeslehren, die es durch den landläufigen Sozialismus eingesogen hat. Es hat verlangt, daß die Träger des Dreigliederungsgedankens auch so sprechen sollen, wie es bisher nach diesen Verstandeslehren gewohnt war. Das konnten diese nicht, weil sie wissen, daß diese Lehren dem Leben widersprechen und deshalb zu nichts führen. |
04 |
Le prolétaire dira : "Vous voulez donc nous parler de toutes sortes de choses savantes, mais nous voulons entendre le langage simple du peuple. À cela, il faut répondre : Non, nous ne voulons pas parler de choses apprises, mais du langage de la vie réelle. Nous voulons parler du capital et du travail uniquement du point de vue de l'expertise, comme le fait le médecin ou le connaisseur de la nature de l'organisme humain, et non comme le charlatan. Mais si l'on veut parler de cette manière, on ne sera compris que si l'autre veut aussi emprunter le bon chemin de la compréhension. Ce chemin ne sera trouvé que s'il veut aller par le cœur et l'âme à la raison. L'auteur de ces lignes est imprégné de la conviction que les porteurs de la tri-articulation parlent de telle manière que l'on voit en eux une compréhension de la situation réelle du prolétariat, si l'on veut les juger du cœur et de l'âme. Jusqu'à présent, le prolétariat n'a pas suffisamment cherché cette voie par le cœur et l’âme. Il a jugé selon les doctrines de la raison analytique qu'il a aspiré par le socialisme courant le pays. Il a exigé que les porteurs des pensées de tri-articulation doivent aussi parler comme il était habitué jusqu'ici selon ces enseignements de raison analytique. Ils n'ont pas pu le faire parce qu'ils savent que ces enseignements sont en contradiction avec la vie et ne mènent donc à rien. |
[838/05] Der Schreiber dieser Zeilen will nicht einer wüsten Phantastik das Wort reden. Er sagt deshalb nicht, daß der Verstand abgesetzt werden soll und nur durch Herz und Seele ein Weg gesucht werden könne. Gewiß, der Verstand muß der sichere Führer sein, aber in sozialen Dingen gibt es keinen andern Weg zu dem richtigen Verstandesgebrauch als den durch Herz und Seele. Auf einen solchen Weg rechnen meine « Kernpunkte der sozialen Frage » und mein Buch « In Ausführung der Dreigliederung des sozialen Organismus ». Ich glaube nicht, daß in diesen Büchern jemand die Lebensbeurteilung vom Standpunkt des Verstandes aus vermißt, aber ich habe mich im Interesse der Sache doch gefreut, als ich vor kurzem in einer Besprechung des ersten Buches von fremder Seite her las, daß darinnen die soziale Frage ebenso durch die Kräfte des Herzens wie des Verstandes erfaßt sei. |
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L'auteur de ces lignes ne veut pas donner la parole à une fantaisie grossière. Il ne dit donc pas que la raison analytique doit être déposée et qu'un chemin ne peut être recherché que par le cœur et l'âme. Certes, la raison analytique doit être le guide sûr, mais en matière sociale, il n'y a pas d'autre moyen d'utiliser correctement la raison que par le cœur et l'âme. Mes "Points clés de la question sociale" et mon livre "En application de la tri-articulation de l'organisme social", comptent sur un tel chemin. Je ne crois pas que personne ne manque dans ces livres l'évaluation de la vie du point de vue de la raison analytique, mais je me suis néanmoins réjoui, dans l'intérêt de la question, de lire récemment dans une critique du premier livre de source étrangère que la question sociale y est saisie tout autant par les forces du cœur que par la raison. |
[838/06] Ebensowenig wie von proletarischer Seite ist der Dreigliederungsgedanke von Persönlichkeiten der bisher führenden Kreise verstanden worden. Diese sind mit ihren Gedanken so eingesponnen in die bisherigen wirtschaftlichen Routinen, daß sie sich von vornherein auf etwas nicht einlassen, das nicht in ihren gewohnten Bahnen läuft. Manche von ihnen sehen ein, daß etwas geschehen müsse; wenn man aber mit bestimmten Gedanken herausrückt über das, was geschehen soll, so schrecken sie davor zurück, weil sie glauben, daß sie die Wirklichkeit haben und daß ihnen diese durch eine Phantastik gestört werden soll. Die meisten sagen, sie haben keine Zeit, um sich mit solchen Ideen zu beschäftigen. Und wer nicht von vornherein ungerecht sein will, der muß sogar zugeben - sie haben wirklich keine Zeit. Sie haben von morgens bis abends zu tun, um im alten Sinne fortzuarbeiten, sie kommen abends aus dem Büro mit ermüdetem Kopf, der nichts mehr aufnehmen will, selbst dann, wenn sie mit gutem Willen sich einmal hinsetzen um sich das Ding anzusehen. So beschränken sie sich darauf, die Brüche, die im Hergebrachten entstehen, zu leimen. Sie werden so lange nicht Zeit haben, bis sie werden einsehen müssen, daß die Zeit, die sie ausgefüllt haben, doch vergeudet war, und daß die viel besser angewendet gewesen wäre, die sie sich nicht glaubten gönnen zu dürfen. Ich rede dabei von denen, die wenigstens einigen guten Willen haben. Auf die andern - ach, sie sind so zahlreich - kann im Ernste doch nicht gerechnet werden. |
06 |
Tout aussi peu que du côté du prolétariat, l'idée de la tri-articulation a été comprise par des personnalités des milieux jusqu'alors dirigeants. Leurs pensées ont été tellement prises dans les routines économiques du passé que, dès le départ, ils ne s'impliquent pas dans tout ce qui ne suit pas leurs lignes habituelles. Certains voient qu'il faut faire quelque chose, mais si on en ressort avec certaines pensées sur ce qui doit arriver, ils s'en éloignent, parce qu'ils croient qu'ils ont la réalité et que celle-ci doit être perturbée pour eux par un fantasme. La plupart disent qu'ils n'ont pas le temps de s'attarder sur ces idées. Et ceux qui ne veulent pas être injustes dès le départ doivent même admettre qu'ils n'ont vraiment pas le temps. Ils sont occupés du matin au soir, pour continuer à travailler dans l'ancien sens du terme ; ils sortent du bureau le soir avec des têtes fatiguées qui ne veulent rien encaisser, même quand, avec bonne volonté, ils s'assoient une fois pour regarder la chose. Ils se limitent donc à recoller les fractures qui surviennent dans le conventionnel. Ils n'auront pas le temps de le faire tant qu'ils n'auront pas réalisé que le temps qu'ils ont passé était finalement gaspillé et qu'il aurait été bien mieux dépensé, à ce qu'ils pensaient ne pas pouvoir se permettre. Je parle de ceux qui ont au moins un peu de bonne volonté. Les autres - oh, ils sont si nombreux - ne peuvent pas être sérieusement comptés. |
[838/07] Wer den Dreigliederungsgedanken verstehen will, der muß sich die Mühe nehmen, zu verfolgen, wie befruchtende Gedanken für das Rechts- und Wirtschaftsleben nur von einem auf sich selbst gestellten Geistesleben kommen können. Er muß vom Leben sich darüber belehren lassen, wie ein vom Rechts- und Wirtschaftswesen aus verwaltetes Erziehungs- und Unterrichtssystem diejenige Regsamkeit verliert, die zur Aufrechterhaltung des sozialen Organismus notwendig ist. Von da aus wird er dann auch zum Verständnis eines assoziativ gestalteten Wirtschaftslebens und eines wirklich demokratischen Rechtslebens kommen. Der Schreiber dieser Zeilen hat versucht, in den obengenannten Büchern diesen Weg des Verständnisses sachgemäß, so gut er es konnte, zu zeigen. |
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Celui qui veut comprendre la pensée de tri-articulation doit prendre la peine de retracer comment des pensées fécondes pour les vies de droit et économique peuvent seulement provenir d'une vie de l’esprit placée sur elle-même. Il doit laisser la vie lui apprendre comment un système d'éducation et d'instruction administré à partir des systèmes de droit et économique perd cette vitalité qui est nécessaire au maintien de l'organisme social. De là, il arrivera à la compréhension d'une vie économique façonnée associativement et d'une vie de droit véritablement démocratique. L'auteur de ces lignes a essayé de montrer dans les livres mentionnés ci-dessus ce chemin de compréhension de manière appropriée, du mieux qu'il a pu. |
[838/08] Will man auf einen solchen Weg weisen, so muß man von den sozialen Kräften ausgehen, die in dem gegenwärtigen Zeitalter wirksam sind. Die moderne Technik hat das Leben umgestaltet; die neuere Wissenschaft ist durch das entwickelte Schulwesen in die Seelen weitester Kreise als Lebensansicht gedrungen. Das hat neue Vorstellungen von einem menschenwürdigen Dasein geschaffen. Mit diesen beiden sehr realen Kräften der Gegenwart rechnen die Träger der Dreigliederung. Man wird deren Ideen dann verstehen, wenn man fühlen wird, was diese Kräfte bedeuten. Viele rechnen zwar mit der Technik, aber nicht mit dem Leben der Menschen, die in diese Technik eingespannt sind. Andere rechnen mit dem Wissenschaftsgeist. Sie wollen ihn - mit Recht - in den Schulen gepflegt haben. Aber sie rechnen nicht mit den Seelenstimmungen, die er erzeugt. Der Dreigliederungsgedanke rechnet mit dem, was sie aus der Rechnung herausfallen lassen. |
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Si l'on veut indiquer une telle voie, il faut partir des forces sociales à l'œuvre à l'époque actuelle. La technologie moderne a transformé la vie ; la science la plus récente a pénétré, par le biais du système scolaire développé, dans les âmes des cercles les plus larges en tant que vision de la vie. Cela a créé de nouvelles représentations d'une existence/d’un être-là digne de l’humain. Les porteurs de la tri-articulation comptent sur ces deux forces très réelles du présent. On comprendra leurs idées quand on sentira ce que ces forces signifient. Beaucoup comptent certes avec la technique, mais pas à la vie des humains qui sont pris dans cette technique. D'autres comptent avec l'esprit de la science. Ils veulent l’avoir – avec droit – cultivé dans les écoles. Mais ils ne comptent pas avec les humeurs/ambiances de l'âme qu'elle produit. La pensée de tri-articulation compte avec ce qu'ils laissent tomber de l’addition. |
[838/09] Der Proletarier hat das Vertrauen verloren, weil er empfindet, wie so viele weder mit seinem Leben, noch mit seiner Seele rechnen. Es wird erst besser werden können, wenn er durch Herz und Seele den Weg findet zu den sozialen Ideen, die mit beiden rechnen, und die ihm eben deshalb seine liebgewordenen Schlagworte nicht weiter bieten können, weil sie einen wirklichen Weg und nicht das Berauschen mit utopistischen Gedanken wollen. |
09 |
Le prolétaire a perdu confiance en lui parce qu'il sent que tant ne comptent ni avec sa vie ni avec son âme. Les choses ne pourront s'améliorer que lorsqu'il trouve le chemin à travers son cœur et son âme vers des idées sociales qui comptent avec les deux et qui, pour cette raison, ne peuvent lui offrir plus longtemps ses slogans devenus aimés, car elles veulent un vrai chemin et non l'ivresse de pensées utopiques. Trad. F. Germani - v.01 - 24/12/2020 |